jeudi 29 avril 2010

Du street art et de l'orage

Parlons lieux. Lieux recherchés, emblématiques, un peu précieux. Jamais longtemps à Paris cela va sans dire. Passke ô joie ô bloggeur, j'ai retrouvé quelqu'une collègue de Londres : Céline de Frenchies in London devenue du coup Céline de Frenchies in Paris ! Eh, ben, vrai : ça vous fait comme une grosse accolade de légionnaire "toi aussi, t'en étais hein, de la pinte tiède sous pluie battante au mois d'août". Vivi.

Toussa pour dire que si elle est revenue et vous parle (toujours) de street art (et elle vous dégote de ces petits-coins-cachés-je-vous-dit-que-ça), y a pas de raison, j'va vous parler du parc G. Brassens et de Kong. N'y allez pas. C'est tout. Le premier parce qu'il commence à tomber de lourdes gouttes et le second parce que Starck, ça va bien comme ça les conneries.

Par contre, allez donc faire un tour du côté du Collectif France Tricot (lequel pourrait même vous emmener jusqu'à la Gare aux Gorilles). Surtout si vous habitez rive droite. Non ? Pas très. Taunt.



Bon, sinon, dans la rubrique "blogosphère, blogosphère, est-ce que j'ai une gueule... etc", la jeune et poétique pluminette de Polaroid Girl se serait séparée de V., semble-t-il. Ce qui devrait lui donner matière à écrire, c'est tout le mal qu'on lui souhaite. (Rigolez pas, son histoire d'amuuur générait un flux de malade, avec des mots clés comme "coquelicots" et "thés du monde").

Rolala, pis ça sent l'orage là. C'est bon c'est bon c'est bon.

Et, vous savez sur quoi on tombe quand on tape "orage" dans gougueule ? (Au lieu de ça, qui suffit : " de l'ancien français ore qui signifiait vent, perturbation atmosphérique d'origine convective associée à un type de nuage particulier : le cumulonimbus") ORANGE... ô rage (verte de). Huit combo hits dans ta tronche marketée, c'est tout ce que tu mérites messaline.

Bref, ça sent le ciel qui craque qu'on disait. J'en vais profiter de ce que je suis ni procréante ni travailleuse pour aller boire des bières fraîches au café voisin en regardant la pluie tiède faire glisser les mémés du 15e et les attachés-case qui i-phent en attendant que le bus et la retraite arrivent.


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