mercredi 25 avril 2007

Combinatoire toi-même

Non, je ne vous raconterai pas comment j'ai bourré la gueule de mes collègues avec des chocolats fourrés à la crème de champagne. J'ai honte. En revanche, je vous avais promis un atelier symphonie. Alors, ça se passe ici. Attention, c'est de la musique combinatoire (à l'inverse d'aléatoire) et quand il y a des maths à la clé, ça peut devenir très compliqué. Pour un exemple probant, voir . Sur le site de l'expérimental Jason Freeman, toujours, à découvrir : Network Auralization for Gnutella ou Shakespeare cuisinart.
Dans le même genre musical, cette histoire mise en scène et racontée par le Washington Post (merci Nico). Le journal demande à Joshua Bell, jeune prodige du crincrin, de jouer dans le métro. Avec cette idée en tête : si l'art est universel et que l'interprète est à la hauteur de son art, le public devrait s'arrêter pour écouter. Résultats de la course... en 45 minutes, 7 personnes et 32$.
Et pendant ce temps, Télérama éditote sur "Julien de la Nouvelle Star, rockeur ou imposteur" ? Eh oui, ça continue ce soir. Heureuse combinaison du sadisme qui sommeille en chaque spectateur et de la nostalgie des rengaines populaires. Une autre approche de la musique.


(En lien dans le titre, la nouvelle attraction de petites-phrases.com que me signale Samski : un bisounours bayrouiste à caresser, dans le bon sens du poil naturellement.)

2 commentaires:

Nono a dit…

Mais pas du tout, pas du tout. Je m'insurge (et tout de suite après je porte un toast, pour continuer sur cette belle lancée): Non, non, mille fois non, je n'étais pas bourré. Légèrement éméché, peut-être. Et encore, à peine.

La Thilde a dit…

J'exagère toujours. Et vous étiez rouges parce qu'il faisait chaud. La prochaine fois, c'est café calvas pour tout le monde !