Cet extrait des "Tribulations de Marcel Cogito". Un des ouvrages du professeur de philosophie, Marc Wetzel, dont ses élèves du lycée Joffre de Montpellier ne soupçonneraient pas immédiatement qu'il donne dans ce genre de littérature. Un homme que je connais trop peu pour le décrire sinon avec les mots de son ami, André Comte-Sponville : un Monsieur Hulot méditatif, un grand tourmenté qui ne se lasse pas d'exister, un esprit trop intelligent mais pas dupe : les idées comptent moins que le coeur, moins que la vie. Voilà, me semble-t-il, comme il est bon d'écrire.
mercredi 8 août 2007
Pitié pour le présent
Cet extrait des "Tribulations de Marcel Cogito". Un des ouvrages du professeur de philosophie, Marc Wetzel, dont ses élèves du lycée Joffre de Montpellier ne soupçonneraient pas immédiatement qu'il donne dans ce genre de littérature. Un homme que je connais trop peu pour le décrire sinon avec les mots de son ami, André Comte-Sponville : un Monsieur Hulot méditatif, un grand tourmenté qui ne se lasse pas d'exister, un esprit trop intelligent mais pas dupe : les idées comptent moins que le coeur, moins que la vie. Voilà, me semble-t-il, comme il est bon d'écrire.
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3 commentaires:
Nous connaissons parfaitement l'activité littéraire de notre si cher professeur de Philosophie. Marc Wetzel est un parangon de sensibilité, de bienveillance, d'humanité, le tout soupoudré de poésie et de profonde légèreté.
ce que je connais du professeur Marc Wetzel, c'est le camarade de lycée, à Lyautey, dans les années 68-70, lorsqu'il était un bon camarade et complice de Christophe Aguiton. Leurs idées, à ces deux-là, étaient un peu trop avancées, pour leurs petits camarades et le prof de philo de l'époque, un certain Torrès ("la philosophie sans douleur") s'en méfiait particulièrement... T'en souvient-il camarade Marc?
eric Dyvorne
petite serveuse en robe courte rouge, j'ai rencontré Marc wetzel dans une petite auberge d'angles, et me suis "presque" reconnue dans les yeux de Marcel... je m'étais coupée le doigt avec un couteau à pain...
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